Robbie Williams

Interview exclusive !!!!

Voici une grosse interview que je viens juste de traduire : (je viens juste de m'appercevoir que le journaliste est pas trés sympa dans l'interview) Lisez vite ce qu’il suite Robbie parle de la France. J'ai mis trés trés longtemps a traduire l'interview donc demander moi une permission si vous voulez la mettre sur votre blog

Spiegel : Monsieur Williams, plusieurs chansons de Rudebox, qui sort lundi prochain, parle d'un meme theme : Robbie Williams. Etez vous votre meilleur fan ?

Robbie : Mais tout ce que je fais a un rapport avecmoi. Et avant que vous me le demandiez : Oui, mon album est thérapeutique et nostalgique.

Spiegel : Vous voulez dire que les sons vous rappellent les années 80 ? Il y a une décenie, vous étiez membre de Take that et la presse vous critiquer pour vos mauvais gouts.

Robbie : Mais c'est dans Take that que j'ai developpé la premiére fois quelques chose comme une identité. J'ai découvert mon amour pour la pop. J'étais enthousiaste concernant le hip hop et la break danse (?) C'est le premier vrai album de Robbie Williams !

Spiegel : Ce n'est pas la plupart des refrain publicitaires ennuyeux que chaque chanteur pop considére comme son travail ? (la vrai phrase c'est celle là : isn't this the most boring of all advertising jingles every pop musician says about his work?)

Robbie : Ca peut etre vrai pour les autres chanteurs mais je n'ai jamais dit ça. Vous pouvez chercher dans les archives pour ça, si vous ne me croyez pas ! Avec mes précedents albums, je chercher a faire plaisir à tout le monde mise a part le Sun. Cet album je l'ai vraiment fait pour moi.

Spiegel : Pour qui avez vous fait Intensive Care alors ? (méchant jusqu'au bout :) Pas pour les 6 millions d'acheteurs ???

Robbie : Bien sur, mais aussi pour tout ceux qui pense que je suis une pop marionette (?) Un marionnette qui chante et danse quand un magicien intelligent, dans le fond, tire les cordes invisibles !

Spiegel : Le joueur de marionnette était le parolier Guy Chambers avec qui vous avez travaillé depuis 1997 non ?

Robbie : Oui. Avant Intensive Care c'était d'ailleurs la raison pour laquelle je me suis séparé de lui. Beaucoup de critiques ont cru que je n'écrivais pas tellement les paroles des chansons.J'ai voulu prouvais avec Intensive Care et maintenant avec Rudebox, que je peux enregistré un album a succés de Robbie Williams sans lui.

Spiegel : C'est pas trop difficile de se faire plaisir a soi meme ?

Robbie : En effet, c'est la chose la plus difficile. J'ai aimé tout mes disques jusqu'a qu'une certaine critique l'ait puni avec autant de haine qu'il était dur pour moi de l'aimer. Je n'aime toujours pas écouter mes veilles chansons mais le temps guéri les blessures et je redécouvre meme certains de mes vieux disques.

Spiegel : Vous avez venu plus de 50 millions d'albums et remplis des stades dans les monde entier. Pourquoi vous ne supportez pas les critiques ?

Robbie: Parce que les critiques ne sont pas sur mon travail, sur ma music. Les attaques sont toujours sur moi, sur ma personnalité. J'attend avec impacience l'objectivité de ces critiques ! Est ce que c'est trop demander ? Je veux seulement que ma musique soit aimer et moi aussi ... enfin un petit peu bien sur

Spiegel : Une partie de vos nouvelles paroles de Rudebox sont comme le résultat d'une thérapie psychologique dans lequel vous analyser votre temps avec Take That. Pourquoi vous occupez vous toujours avec cette période ?

Robbie : Il y a beaucoup de tristesse a l'intérieur de moi. Enfin appelons ça de la mélancolie. Mais je ne suis pas irréconciliable. D'une part certains de mes vieux compagnons ne l'ont pas rendu facile pour moi à comme eux. D'autre part après que chaque attaque de la mélancolie je sois dans une bonne humeur pendant un moment.

Spiegel : Les chansons fonctionnent elles comme des thérapies contre la tristesse et la mélancolie ?

Robbie : Non malheuresement ce n'est pas si facile que ça, mais j’écris des choses qui m’ont blessé et ca m’aide. Mais croyez moi, souvent je me sens misérable.

Spiegel : La biographie « Feel » est sortie 2 ans avant que vous parliez de votre dépression.

Robbie : Sûrement. Il y a des périodes où je me sens pas du tout bien, surtout quand je pense à Take That. Je sais que je vais beaucoup mieux aujourd’hui qu’il y a quelques années en arrière. Peut être que c’est parce que j’écris des chansons au sujet de mes problèmes, peut être c’est parce que je vieillis, peut être c’est parce que le docteur me prescrit de meilleures drogues. Peut être c’est un peu de tout ça.

Spiegel : C’est dur pour vous quand les critiquent vous rabaissent. Vous sentez vous sous estimez en général ?

Robbie : Oh vous savez je trouve meilleur de vendre 50 millions d’albums est d’être sous estimé que de vendre 1 millions d’album est d’être surestimé. Mais a quoi vous pensez ? Mais dans les 2 cas on n’est pas heureux. C’est super de réussir. Mais c’est très irritant de se battre avec les médias dans votre maison. – Dans mon cas l’Angleterre. Les journalistes Anglais me détestent quoi que je fasses

Spiegel : Ce n’est pas trop exagéré ? Robbie : Evidemment vous ne me prenez pas au sérieux, pourtant je n’exagère pas.

Spiegel : Pourquoi vous vous faites ça a vous-même ? Robbie : Parce que je suis malade. Mais vous faites également des choses pas bonnes pour vous. Ne mangez vous pas de temps en temps une barre de chocolat ? Vous ne buvez pas une biére de trop de temps en temps ?

Spiegel : C’est possible

Robbie : Vous voyez. Alors vous devriez comprendre ce qui m’arrive. Imaginez que vous etez assis dans une chambre, seul. Dans la chambre a coté, les gens bavardet a propos de vous. Vous entendez ? Croyez moi, tout etre normalement constitué se dirigerent vers la porte pour écouter ce qu’il se dit. Je pense qu’il est tout à fait humain de se torturer avec le négatif. Si vous ne vous préoccuper pas du bavardage des gens, vous etez soit le Dalai Lama, ou un etre spirituel. Mais pour moi la chose est plutot compliqué parce que c’est le tout le public. Et aussi je dépiste l’avarice cachée plus rapidement que la plupart des personnes. J’ai versé de l’argent a quelqu’un pour qu’il m’aide a distance … Sans succés

Spiegel : Continuez vous a lire des choses qui vous concernent sur internet ?

Robbie : Tout le temps ! Un autre penchant et une grave erreur ! Meme sur internet je trouve de la haine. C’est pourquoi je préfére etre dans des pays ou je ne parle pas la langue. En Allemagne par exemple Toutes les choses qui sont publiés sur moi ne m’inquiéte pas puisque je ne les comprend pas. Ainsi l’Allemagne est propre pour moi comme la France et le Mexique. Je sais seulement dans ces pays que mes concerts sont complet et que mes disques ce vendent bien. Merci !!!! (On t’adore Robbie !!!!!!!!)

Spiegel : Quelles histoires trouvez vous sur vous sur internet ?

Robbie : Ce matin j’ai lu une histoire comme quoi j’étais aller dans la pharmacie de Harrold et que j’ai acheté des couches et des préservatifs parce que je fais pipi au lit et que la fille a coté de moi ne peux pas se sauver a l’heure

Spiegel : Est-ce que quand vous lisez des histoires comme ça vous riez ou au contraire vous être triste ?

Robbie : Dans ce cas, je rigole parce que c’est stupide. Je suis aller a Harrold 2 fois dans ma vie et je ne suis jamais aller dans les pharmacies.

Spiegel : Avez-vous quelque chose a envier ?

Robbie : Les belles chansons

Spiegel : La dernière belle chanson que vous avez écouté ?

Robbie : Angels

Spiegel : C’est votre propre chanson !

Robbie : C’est vrai, Je voudrais plutôt dire que j’adore Bono, le chanteur de U2 parce qu’il est très relaxé avec les gens. Si vous insistez pour une réponse : J'envie les gens dont la vie moins est compliquée.

Spiegel : Une vie compliquée est le résultat de la célébrité. C’était quand la dernière fois que personne ne vous a reconnu ?

Robbie : C’était tout à l’heure, quand j’étais seul dans ma chambre.

Spiegel : C’est pour ça que vous habitez Los Angeles ? Parce que vous etez plus connu en Europe que là bas

Robbie : Quand je marche dans la rue, il y a toujours des gens qui me regarde. Ils pensent que je suis célébre de quelque part. Il y a très peu de photographes a Los Angeles

Spiegel : Contrairement à l’Europe ou il y a des photographes de partout, surtout à la sortie de vos hotels ou ils parlent de vos aventures sexuelles avec des fans.

Robbie : J’aime le sexe, aussi pendant ma tournée. En meme temps beaucoup de filles veulent coucher avec moi juste pour vendre leurs histoires à la presse. Ou je n’ai pas couché avec eux, ou elles transforment cela en conte de fée. 60 à 70% des histoires comme ça sont fausses.

Spiegel : Est-ce que cela vous gene ? Robbie : Oui parce que quand je vois les histoires dans les journaux je trouve la plupart d’entres elles mignonnes et que ça sert a rien de faire un cirque comme ça.

Spiegel : Cela ne ressemble plus a du Robbie Williams melancholique.

Robbie : Vous pensez que je devrais etre plus romantique ? En fait je ne suis pas interressé a tombé amoureux aujourd’hui. Je ne cherche pas un rapport durable. J’ai 32 ans et j’aime etre seul. Pour l’instant je suis trop egoiste.

Spiegel : De plus en plus d’artistes créer leurs propres labels et mettent en évidence leur propres musiques. Robbie Williams a-t-il besoin de créer son label ?

Robbie : J’aimerais, mais je vous le dirais dans une prochaine interview

Spiegel : Avec cette attitude, Prince à échoué

Robbie : Je me rends totalement compte des risques. Je sais que je pourrais vendre moins de disques et donc moins gagner d’argent. Mais gagner de l’argent m’importe peu, au sinon j’aurais arrêté depuis longtemps

Spiegel : Est-ce que c’est vrai que quand votre contrat expireras, vous ne n’en résignerais pas un autre ?

Robbie : C’est exact

Spiegel : Peut etre auriez vous plus de temps pour travailler sur votre livre ?

Robbie : A l’heure actuelle, le travail est reposant parce que je suis trop paresseux. 40 pages sont faites. 260 manquent toujours. A l’école les enfants m’appellaient « dummy » (muet/sans cervelle) ou « fatty » (gros) Les enfants peuvent être vraiment cruels. Mais bonjour ! Maintenant le gros muet écrit un livre. Pourquoi ? Parce que je le veux. Vraiment. Et vous savez pourquoi ?

Spiegel : S’il te plait

Robbie : Mon livre se vendra comme un fou

Spiegel : Merci monsieur Williams

posted by Vanille @ 15.10.06